Je mets à contribution nos artistes

Um haiku, l'emblême des phenix disons que... Je l'ai vue sur tous les serveurs ou j'suis passé... :p Donc c'est pas étonnant qu'on la retrouve ailleurs, comme sur un avatar par exemple... :p

Oui moi aussi je l'ai vu sur beaucoup de serveur. Mais enfin ca reste quelque chose qui m'intrigue c'est pour ca. Pourquoi avoir choisi cet avatar compte tenu de son importance sur le serveur? Si il a été choisi pour une raison n'ayant rien a voir (ce que je pense) quelle raison? M'empechez pas d'etre curieux

Je ne vois pas non plus les avatars .... dommage !

Ca y est je les voit, ils sont vraiment super.


Pour l'avatar des phénix, a savoir que le même existe sur d'autre serveurs, si si

xD tu as vus sont beau un xD mais bon le mien je l'aime moi xD

ils sont jolie comme tout

Je les vois aussi je ne sais pas ce que tu as changé .... enfin bref ils sont simplement magnifiques ^^

^^ lol c'est vrai qu'ils sont beau xD expdr

J'ai refait un petit tour sur ton deviant art, tu as vraiment de très belles photos dessus.

Quand est-ce que tu nous en met d'autre?

Merci beaucoup mon Negi^^
Il y en aura de nouvelles dès que je serai motivée à prendre des photos, ou à en retoucher quelques-unes.
Mais comme je peux rien faire avec aol ces derniers temps, et que j'ai la flemme de prendre des photos, bah voilà! ^^'

a que qu'elle est mimi nyhia *-*

Un montage et deux nouvelles photos en ligne sur mon Deviant Art, dont une photo que seul Negi avait.. ^^ Finalement je l'ai mise, elle est peut-être pas si mauvaise que ça ^_^

mais pourquoi yavé que negi qui l'avé elle est tres cholie *-* negi monopolise pas ma piou ><

Meuh non, j'étais content d'avoir une photo de toi, ou que moi l'avait.

M'en faudra une autre alors...

eh !

Un joli texte, écrit tard dans la nuit.



C’est sur internet que tout a commencé. Tout avait si bien commencé, j’étais heureuse. Mais en réalité c’est à partir de là que tout a dérapé. A l’instant même où je me connectais, le mal s’est emparé de moi. Enfin, le mal, c’est ce que vous dites de moi. C’est la version que vous donnez en essayant de comprendre ce qui m’a pris. Mais savez-vous réellement tout de moi ? Savez-vous réellement si j’ai atteint mon but premier ? Terminé ma tache comme prévu ? Êtes-vous certain que c’est le mal qui m’animait et qu’il est bel et bien sorti de mon corps ? Vous dites que je suis un monstre. Mais vous êtes d’immondes créatures, des humains bêtes et idiots comme des pieds. Vous croyez tout savoir, mais le savoir vous échappe comme du sable dans vos doigts. J’ai aujourd’hui vingt-deux ans, et voilà dix ans que tout a débuté. Je n’ai jamais été vraiment quelqu’un de sociable, je dirai même que j’ai toujours été solitaire, à l’écart de ce troupeau de moutons. Je n’ai jamais été jolie, souriante ou drôle. Je n’ai jamais eu d’amis. Je n’ai jamais été amoureuse. Jamais je n’ai ressenti de sentiments autres que du dégoût et de la haine envers quelqu’un. Je les haïssais tous plus les uns que les autres. Eux, et leurs sourires niais. Ca me dégoûtais, ça me donnais une putain d’envie de gerber. Ces groupes de filles, ces pimbêches aux gloussements de dindons. Ces groupes de garçons, et leur humour « décalé » que personne ne peut comprendre. Et ces couples, à passer leur temps à se rouler des pelles. Bordel. Qu’ils crèvent tous, ça nous fera des cons en moins sur cette Terre, le monde sera un peu mieux sans ce fléau de merde qu’est l’homme. J’ai très vite compris qu’ici, le mieux était de faire les choses soit-même, et que c’était chacun pour sa gueule. Alors là, j’ai décidée de commencer à m’éclater. Là, c’était l’extase, encore mieux que cette connerie de sexe. J’me suis mise devant un ordinateur et j’me suis connectée à internet. Un pseudo à la con, une adresse mail, et une autre pour msn, deux-trois chat et forums de merde et c’était parti. J’ai parlé avec plein de gens, chose que je ne faisais jamais IRL comme disent les geek. Eux, c’était des bons. Bien cons, absorbés par leur jeu de merde, dans des mondes idiots à niquer des mobs et autres monstres moches. A baver devant leur pc, les yeux rouges explosés par ces 72heures de jeu sans arrêt ; Pris de spasmes et de convulsions dès qu’ils n’ont pas leur 20heures de jeu par jours. 20heures pour jouer, 1heure pour bouffer, et les 3 restantes pour pioncer. Des fois même ils bouffent devant l’ordinateur. Bordel ! Sinon t’as pas le temps d’exp. ! Ensuite t’as ceux qui passent leur vie sur les chat. « t’as la cam ? T’es chaude ? », eux, ils savent rien dire d’autre, et ils se masturbent devant des films pornos, ou devant des meufs trop connes pour leur montrer des trucs. A mon avis, ceux-là ils sont trop moches pour sortir de chez eux. Par contre, pour leur parler faut sortir le dictionnaire des abréviations, ou carrément le traducteur, parce que ces cons, c’est une autre langue qu’ils parlent. Ensuite t’as ceux des forums, genre forums RPG et autres, pour beaucoup, bien trop dans leur jeu. Trop chiants des geeks du forum. Sans importances, et puis, tu t’en lasses vite. Après t’as les pseudos. Tu vois, tous ceux qui se font passer pour, mais qui ne sont pas. Pseudos-artistes, pseudos-geek, pseudos-glandeurs, pseudos-racailles, pseudos-gothique…etc…etc… La liste est vachement longue. Eux, ils sont amusant, mais juste au début, un peu comme des castors trisomiques ; Et puis t’as les autres. Ils sont dans aucune catégories précédentes, ou ils en font partis, mais sont juste un peu moins cons. Bien que… C’est peut-être eux, les plus cons, parce que c’est ceux qui ont eu le malheur de s’attacher à moi. Ca, putain, c’était bon. J’me faisais passer pour quelqu’un de bien, de gentille et de cultivée. Hop, je balance la photo d’une grognasse conne comme un balai mais soit disant jolie, que j’ai trouvée sur un blog de merde, et le tour était joué. Je suis passée pour ce que je n’étais pas. Je suis passée pour une fille merveilleuse et fantastique. Ho, je le suis, mais pas exactement comment ils l’entendaient. Tu parles longtemps avec eux. Tu fais comme si tu t’intéressais à leurs problèmes, tu les écoutes, les réconforte quand y’a besoin, t’es devenue la meilleure amie de tout le monde quoi. Et là, tu sens monter en toi cette bouffée d’amour qu’ils éprouvent pour toi ; mais putain, qu’est-ce que ça te répugne encore plus qu’avant. Alors là, plus le temps passe, plus ils s’attachent à toi, et plus ils veulent te voir en vrai. C’est à ce moment là que j’ai su. Bien sur, ces pauvres cons ont jamais pensés qu’il serait judicieux de s’intéresser à moi. Ils ne m’ont rien demandé. Alors je leur ai rien dis, ça servait à rien, ils en avaient rien à battre. De tout manière, comment auraient-ils pu deviner que mon père était en tôle, que c’était un alcoolo qui nous tapait dessus. Que ma mère était dépressive et suicidaire. Que ma sœur était schizophrène, et que mon frère c’était tué en voulant exorciser le diable qui était en lui. Il paraît que la folie c’est génétique, ou qu’on devient fou lorsqu’on a baigné toute son enfance dans cette vie. Non, bien sur, je ne suis pas folle. Du moins, c’est ce que je penses. Ensuite, ce que disent les médecins, je m’en contrefiche. Alors là, en sachant ce que je suis capable d’être, êtes-vous certain que ces pauvres âmes étaient en sécurité auprès de moi ?

Ils ont été vingt-six au total. Vingt-deux pour ses années de souffrance, de solitude, de haine. Et les quatre autres pour remplacer cette si merveilleuse famille qu’était la mienne. Ce sont ces quatre derniers que j’ai préférée. Je dirai même, que je me suis attachée à eux, d’une certaine manière. J’ai mis longtemps pour les trouver. Il fallait que je trouve exactement ceux qui seraient miens. Il ne fallait pas qu’ils soient juste cons. Il fallait qu’ils soient appétissants. D’un certaine manière. Ah ! Mais j’oubliais. Il y en a un de plus sur la liste, mais c’est une toute autre histoire… Leurs noms resteront secrets, vous n’aurez qu’à remettre le puzzle dans le bon ordre. Je vais juste conter comment s’est passé mes rencontres, avec ces cinq que j’ai aimais le plus. Ils se connaissaient déjà tous, car je m’étais arrangée pour les présenter les uns aux autres. Nous devions passer six jours dans un village dans le Nord de la France. Un par jour, voilà comment était prévu mon plan. Arrivée chez maman, nous nous sommes retrouvés, installés. Les autres ont un peu été déçus par mon apparence. Je n’étais pas blonde, et n’avait pas les yeux bleus. Maman était comme ça. Moi, j’avais les cheveux noirs, et les yeux de la même couleur. Papa était brun, les yeux marrons. Petite sœur avait les cheveux châtains, les yeux verts. Grand frère, lui, était comme petite sœur, mais avec les yeux marrons. Mon amoureux, lui, c’était le cinquième, était brun, les yeux marrons, comme papa ! Mais finalement, ils ont dit que j’étais jolie. Des paroles en l’air. Le premier après midi, donc, c’est papa qui a disparu. On avait plus de nouvelles, et on arrivait plus à le retrouver. Le lendemain, c’est Grand-frère, bizarrement. Le 3eme jour c’est petite sœur. Le 4eme on a retrouvé le corps de petite sœur. Maman a commencée à dire que c’était mon amoureux. Raté. Le 5eme jour Maman a disparue, à son tour. Et le 6eme, mon amoureux qui a cru qu’elle s’était suicidée après tout ce mal qu’elle avait fait, est mort, à son tour. Qui aurait put deviner que c’était moi, et moi seule la meurtrière ?

Papa avait cette fâcheuse manie de boire, boire encore et toujours. Alors je lui ai donné beaucoup, beaucoup d’alcool. Ensuite je lui ai déversé quelques bouteilles sur le corps, et j’ai fait un feu de Dieu ; C’était beau à voir. Il a crié deux secondes, mais il était déjà carbonisé. Et puis, il était trop saoul, et au milieu des champs, qui l’entendrait ? Aujourd’hui, ces cendres se sont dispersées au grès du vent.

Grand frère, son gros problème, c’était la cigarette. Il fumait sans arrêt, et cette fumée, elle était dégueulasse. Alors j’ai pris son paquet. Et j’ai mis de l’acide dans les clopes. Alors, quand il en a allumée une, ses doigts se sont consumés, et comme il hinnalait la fumée, et qu’à l’intérieur y’avait l’acide, bah il s’est consumé de l’intérieur, depuis les poumon. J’sais pas trop ce que ça a donné à la fin, mais j’l’ai laissé crever seul dans la cave.

Petite sœur, quant à elle, c’était l’eau qui lui faisait peur. J’crois que c’est elle qui a eu la mort la moins douloureuse. Elle prenait sa douche. J’ai bouché l’évacuation d’eau. Collé les coins et recoins des portes de la douche, et j’ai fait en sorte que le robinet ne puisse plus se refermer. L’eau est montée dans la douche, peu à peu, jusqu’à ce qu’elle atteigne le plafond. Elle a bien essayée de crier, mais j’avais mis la musique à fond.

Maman, quand elle a retrouvée le corps de petite sœur, elle a péter un câble. Elle arrivait pas à imaginer que c’était à cause de moi, alors elle a dit que c’était mon amoureux qui les avait fait disparaître les uns après les autres. Pas de bol. On est allées se promener. On chahutait en riant. Je l’ai poussée et elle a malencontreusement atterrit sur un pieu en argent que j’avais déposé à cet endroit là. Qui veut de la brochette de maman ?

Je suis très vite rentrée, retrouver mon amoureux, en pleurant. Je lui ai expliqué ce qui c’était passé avec maman. Mes fausses larmes étaient merveilleuses. Il a voulu me consoler. Alors cette nuit là, on a fait l’amour. Le problème, c’est qu’il ne savait pas que j’avais mis du poison sur tout mon corps. Bien sur je m’étais protégée pour qu’il ne pénètre pas ma peau. Mais lui, ce pauvre idiot, m’embrassait, et me léchait. Le poison a fait effet, tout doucement. Il est mort en souffrant énormément.

Pour tous ceux que j’ai tuée, je me suis arrangée pour que personne ne comprenne comment je m’y étais prise. Des fois, on ne retrouvait pas le corps, et on pensait juste que la personne s’était enfuie.

Aujourd’hui, je suis enfermée dans cet hôpital psychiatrique. Je me comporte le mieux du monde, pour avoir accès à plus de privilège. Je me suis remise sur internet, et c’est grâce à ça que je peux te parler. Maintenant que je t’ai racontée mon histoire, que crois-tu ? Que je suis une dégénérée ? Que tout cela est impossible ? Que je suis juste une adolescente qui me paye ta tête, en te racontant des histoires qui font peur ? Mais qui te dit, que tu n’es pas ma prochaine victime ? Tu t’attacheras à moi, tu voudras me voir, et lorsque je ressortirai d’ici, tu verras qui je suis réellement…

joli texte, un poil morbide quand meme ^^
au moins je sais que c'est pas toi le perso principal, sinon je sais pas si j'aurais accepté de faire notre IRL XD...
j'ai aussi fait des textes dans le genre dans le temps mais sa m'ai passé... j'aime pas passer 3h sur ce genre de choses franchement ^^ enfin ensuite chaqu'un son truc quoi... Par contre l'envi de dire ce genre de conneries m'ai resté alors jme defoule lors des essais en anglais ou on peut ecrire tout ce qu'on veut, le prof est cool ^^ (enfin plusieurs fois il a sincerement cru que j'etait un psychopathe :p)

... gloups

Oui.
D'habitude j'écris pas ce genre de textes. Au début j'voulais continuer la ré-écriture de mon roman, mais j'avais trop la flemme. Et puis ré-écrire quelque chose de déjà écrit c'est chiant. Bon, je sais que ce roman en a besoin, vu comment j'écrivais y'a un an, ça fait peur. Mais ça me plait plus d'écrire la suite de ce que j'avais déjà écrit (et que vous aurez pas tant que la ré-écriture ne sera pas arrivée au même niveau) vous suivez toujours?
Donc là, c'était juste pour me vider de toutes mes tensions. Parce que pleurer, et crier ne me fait plus rien. Et j'ai décidé de ne plus jamais me mutiler. Donc. Autant écrire des textes de merde, un peu morbide, et qui servent à rien.
Au moins je sais pourquoi j'écris, même si ça se finit en queue de poisson, que c'est mal écrit, et que les idées sont étranges. (oui pour les meurtres j'ai trop regardailler des films O_o)
voilà.

bah si sa sert a te defouler sa sert pas a rien alors ^^ Vaut mieux sa que te faire du mal... Enfin bon quand tu m'avais parlé d'un texte pas mal sur ta diskette, bon j'attendais a qqc de pas mal meme si la c'est un peu fort ^^

On t'aime tous nyhia, ne te fait pas mal ^^ rien que pour nous ^^

bin on est dans le coin des artistes nan?
alors jmet cette petite video de mwa ^^



EDIT: arrg non sa marchait dans la previsualisation et sa marche plus sur le forum...

bon regardez ici:
http://video.google.nl/videoplay?docid=4230654974685640045

Mon grand, tu es un beau ptit con =)
Les photos de malade qu'on va faire quand on sera à deux.
Et des vidéos même!
J'en ferai une super jolie sur toi et moi!
Owi!
Je m'aime...

Nyhia a écrit:

Mon grand, tu es un beau ptit con =)
Les photos de malade qu'on va faire quand on sera à deux.
Et des vidéos même!
J'en ferai une super jolie sur toi et moi!
Owi!
Je m'aime...

Sa fait plaisir
Nan jplaisante chuis un grand con et jle revendique d'abord
wwwwééééééééééééé on va faire des super fotos et des super vidéos (enfin surtout tu parceque c'est pas avec ma miniscule carte memoire de 32Mb qu'on va aller loin ) c'est pas grave on va super s'amuser quand meme
Moi aussi je m'aime (mais je t'aime toi ôssi)

Tiens c'est marrant dans la liste des messages postés on voit le mini player que j'avais mis... c'est vraiment de la merde ces forumactifs lol

t'inquiète paaaaaaaaas.
Bon, plus qu'une semaine.
D'ailleurs.
Si vous bvoulez un texte très très long, le voilà qui suit...
Non, en fait demain, il est pas sur ma disquette qui e"st d'ailleurs dans ma chambre. Et oui, le chapitre V est enfin terminéééééé.

Cadeau empoisonné. Beaucoup plus long que d'habitude. beaucoup moins sérieux que d'habitude. Que du délire (ouais quand même Oo) nazyran et moi, on a des mauvaises idées bizarres. c'te chapitre lui ai dédié, vu que c'est à cause de lui que ce chapitre a été trouvé. Vla. Ho merde. Mon message dépasse la limite autorisée. J'vous fou la fin dans un second message.

Chapitre V.
Le monastère.

Ils s'étaient mis en route le plus rapidement possible. Il ne fallait pas qu'ils perdent un seul instant. Malheureusement pour lui, le jeune semi-dragon avait fait attendre la jeune fille, qui lui avait mise une baffe à sa sortie de la salle de bain. Ils marchèrent longtemps vers le Nord, se repérant au soleil. Ils marchèrent toute la journée sans même s'arrêter. La garçon n'avait eut de cesse de se plaindre, et pour lui faire plaisir, mais aussi et surtout pour qu'elle n'entende plus ses gémissements, elle décida qu'il était temps pour eux de faire une halte. Finalement ils virent au loin une auberge qui paraissait rustique, toute faite de bois. Mayuchito reprit sa forme originelle, cachant ainsi ses magnifiques ailes. A ce moment là, elle le regarda encore plus intensément qu'avant. Elle n'avait pas vraiment pris le temps de le faire, mais elle se rendit alors compte qu'il était assez mignon. Il avait les traits assez fins, les cheveux blonds aux reflets roux légèrement bouclés, et des yeux d'un vert émeraude magnifiques. Il avait un petit côté charmant, ce qui la fit sourire. Ils entrèrent alors dans la taverne. Ils saluèrent les quelques présents dans la salle, pour aller s'asseoir tout au fond, à une table pour deux. La restauratrice, une petite femme brune rondelette, s'approcha d'elle, un grand sourire aux lèvres.
"Bonjour, que prendrons nos deux jeunes amoureux?
Célia se mit alors à bredouiller quelques mots totalement incompréhensibles.
- Je... Nous... Pas... A...Mou...Reux...
Le garçon se tourna alors vers elle et posa sa main sur la bouche de sa compagne, avant de reprendre d'un air joyeux.
- Veuillez l'excuser, elle est un peu fatiguée. Nous voyageons beaucoup pour des fouilles archéologiques ici et là du monde, et c'est pour cela qu'elle a du mal pour parler, étant donné qu'elle s'est donnée sans relâche dans le travail. Nous sommes juste collègues, et non pas amoureux chère madame. Aussi, nous aimerions goûter à votre plat du jour, pour manger la spécialité de votre belle région.
Elle repartir vers ses fourneaux tout en chantonnant. Le semi-dragon lâcha alors son amie.
- Non ma belle, ne me remercie pas, je sais que je suis tout à fait charmant de t'avoir, une fois de plus, sauvée. Enfin, ce n'est rien, tu rembourseras ta dette dès que tu en auras l'occasion."
Elle lui lança alors un regard assez explicite, qui montrait bien ce qu'elle pensait de lui, c'est à dire qu'il était bien prétentieux. Il éclata alors de rire. La soirée se passa normalement, dans la bonne humeur. Ce fut très tard dans le nuit qu'ils montèrent dans une chambre de deux aux lits séparés. Ils s'étaient installés dans les lits, encore habillés, étant donné qu'ils n'avaient même plus la force de se changer. En effet, ils étaient tous les deux saouls. Ils se mirent tout de même à parler, avec le peu d'esprit qui leur restait encore.
"Comment ça se fait que t'es un demi dragon? Quand même, c'est pas normal ça!
-Hic! En fait ma mère c'était une dragonne, et elle avait le pouvoir de se transformer en femme. Et mon père c'est un idiot de mortel qui est tombé sous son charme! Ouép!
-Beurk, mais c'est pas un peu dégueulasse ça? Tu crois que j'suis aussi une démone?
-Dégueulasse? Mais je suis pas dégueulasse, bordel! Hic! Puis toi, t'es beaucoup mieux que ça princesse! Carrément mieux qu'une démone! Ouaaaais. Hic! Mais j'te dirai pas quoi, j'pas l'droit!
-Haaaa naaaan, allez dit moi, c'pas du jeu, t'es qu'un tricheur! Elle prit la voix d'une enfant de dix ans. S'il te plait mon Mayuchito, diiis moiiii, soit sympas!
Elle descendit alors du lit, pour aller se glisser dans celui de Mayuchito, qui crut bien entendu, qu'elle lui tendait une perche. Il s'empressa donc de la serrer dans ses bras en voulant l'embrasser. Elle lui donna un coup sur le menton, tandis qu'il se laissa tomber sur le côté.
-Heho, tu crois quoi? Que je viens dans ton lit pour que tu profites? J'ai dis que t'obtiendrai rien de moi, alors j'peux être pleine d'alcool, que c'est pareil! Tu m'toucheras pas! Alors essayes encore une fois, et j'te jure, Ho oui, j'te jure que j'te tue! Et tant pis si j'sais pas ce que t'as fait dans ma vie!"
Finalement il se recoucha à côté d'elle, tout en la serrant dans ses bras. Ils se réveillèrent au petit matin, lorsqu'ils entendirent des cris stridents inhumains. Il était très tôt, mais le bruit était insoutenable. Les chevaux hennissaient, tandis que des lames se fracassaient. Quelqu'un frappa à la porte avec une force impressionnante. "OUVREZ NOUS!" Quelqu'un cria, dans un dernier souffle. Encore un coup sur la porte, comme si quelqu'un essayait de la fracasser, et elle était sur le point de casser. Les adolescents se levèrent dans un bond, regardant autour d'eux un moyen pour sortir. Il n'y en avait aucun; ils étaient pris au piége, et ceux qui les poursuivraient allaient avoir leur têtes. Ils regardèrent par la fenêtre. sauter aurait été du suicide; de plus des gnomes, ainsi que des trolls les attendaient en dessous. Tout à coup, le garçon eut une idée, et se tourna très rapidement vers son amie.
"Tu as confiance en moi?!
- Heu...
- Emi! Ai confiance en moi! S'il te plait!"
A ces mots, il l'attrapa par la taille. Il avait déjà reprit sa forme originelle, c'est à dire un beau dragon aux couleurs orange, rouge sang et or. Ses ailes se déployèrent alors qu'il avait déjà sauté par la fenêtre sans même la prévenir. Elle avait cru qu'ils allaient s'écraser, mais avant même qu'ils n'aient touché le sol, il remonta à une vitesse assez impressionnante, tout en esquivant les flèches et les armes que l'on pouvait leur lancer. Un voix rauque se fit entendre.
"Ne les laissez pas partir! PAS ENCORE UNE FOIS! Il nous la faut vivante!"
Mais déjà ils étaient loin, côtoyant les nuages. Mais déjà ils s'étaient à nouveau enfuis.

Suite et fin.

Ils avaient volés longtemps, car longtemps ils furent encore poursuivis par les êtres maléfiques qui les recherchaient. Ils finirent par survoler une grande forêt vierge, d'un vert éclatant près des montages. Ils virent alors au loin, un arbre qui semblait énorme, magnifique, et vieux. Des oiseaux étaient perchés sur les hautes branches, tandis que des fleurs blanches semblaient avoir été parsemées ici et là. Les feuilles volaient au grès du vent, qui soufflait doucement sa brise fraîche au dessus des cimes des arbres. Mayuchito alla alors se posa sur celui-ci, le plus merveilleux des arbres. Il semblait magique, et les agitations de ses branches avaient un effet hypnotique sur le semi-dragon. Il déposa délicatement la jeune fille sur la plus haute et grosse branche de l'arbre avant de se poser à son tour, reprenant sa forme originelle. Il lui sourit doucement, un peu gêné par quelque chose qui semblait être invisible. Ils n'avaient pas parlés de tout le trajet. Elle retira sa longue cape, pour la poser de manière à ce qu'elle ne s'envole pas. Elle détacha alors ses longs cheveux noirs qui se mirent à danser au rythme incessant du vent. Elle semblait exténuée, et aurait voulue trouver un abri durant la nuit qui approchait et qui serait sûrement glaciale. Ils regardèrent autour d'eux, en quête d'un endroit meilleur, mais ils abandonnèrent. En effet, ils n'observaient toujours que la même chose, la forêt à perte de vue. Finalement il décidèrent de dormir là. Mayuchito reprit sa forme de dragon car il savait qu'ils pourraient avoir chaud ainsi tout les deux. Elle remit sa cape lorsqu'il fit trop froid, et elle se colla à lui, tandis qu'il rabattait ses longues ailes sur leurs deux corps rapprochés. Elle dormit merveilleusement bien cette nuit là dans ses bras.

Ils se réveillèrent tard ce matin là. D'après la position du soleil, il semblait être déjà passé midi. Le jeune démon avait été le premier à ouvrir les yeux, dérangé par les bruits et les sifflements de tous les animaux présents dans la forêt. Des oiseaux qui passaient près de lui le regardait d'une étrange manière. La jeune fille, quant-à-elle, était endormie d'un sommeil de mort. Peut-être rien n'aurait put la réveiller s'il ne l'avait pas embrassé sur la joue, telle la belle au bois dormant. -et c'était à ce moment là, le cas de le dire- Elle ne le repoussa pas, ne le frappa même pas, ne lui accordant aucun mots, aucunes phrases, juste un sourire. Un sourire qui semblait être rempli d'une chaleur si douce... Elle l'avait simplement regardé droit dans les yeux, cachant encore son visage dans la douce texture de ses ailes, se protégeant du soleil qui aurait put la toucher et la faire mourir en quelques instants, en quelques secondes fatidiques. Ils étaient descendus de leur arbre, dans un silence morbide. -surtout pour ces deux là- Pas un murmure, pas même un chuchotement ne sorti de la bouche de l'un ou l'autre. Ils rencontrèrent quelques animaux, et quelques bestioles bizarres. Des serpents, dans singes, et puis des éléphants minuscules à poils longs, ainsi que des oiseaux multicolores à têtes de chevaux. Ils marchèrent tout en observant le paysage qui les entouraient, sans aucune peur ou crainte. Ce fut en fin de journée qu'il finirent par voir au loin quelque chose qui semblait être habité. C'était un monastère. Ils passèrent devant une immense statue bien étrange. C'était véritablement un immense pingouin, haut d'un douzaine de mètres, qui tenaient en ses pattes un énorme tonneau de bois. La jeune fille ne savait pas vraiment pourquoi, mais elle avait l'impression qu'il était rempli d'uns mixture étrange et peut-être même maléfique. Ils décidèrent de passer la nuit ici. Pour cela ils devaient se faire passer pour deux jeunes hommes en voyage dans la région , qui cherchaient un peu de repos. Elle attacha alors ses cheveux en un minuscule chignon qu'elle cacha en dessous de la capuche de sa longue cape. Elle se donnait des airs fatigués d'un jeune garçon. Et puis, elle n'avait pas l'intention d'enlever sa cape, ce qui lui donnait tout de même un air d'homme. Mayuchito quant-à lui reprit sa forme de jeune garçon tout à fait banal et sortit de son sac une longue cape grise qu'il plaça sur lui, de la même manière que la jeune fille avait placée la sienne. Ils frappèrent à l'énorme porte de bois. Un petit carré s'ouvrit, et deux grands yeux bleus regardèrent. Une voix aiguë se dit entendre.
"Qui êtes-vous? Que voulez-vous? Demanda-t-elle.
-Nous sommes deux voyageurs fatigués. Nous voudrions un peu nous reposer. En auriez vous l'hospitalité? Nous ne vous dérangerons pas dans votre prières." Répondit alors le jeune garçon d'une voix grave et pleine d'assurance.
La grande porte se mit alors à grincer avant de s'ouvrir peu à peu, leur laissant le champ libre. Galanterie oblige, Mayuchito laissa la jeune fille entrer la première. Elle leva alors les yeux pour observer le plafond de pierre dont les voûtes semblaient immenses. Un énorme couloir s'offraient à eux. Elle se tourna alors vers le gardien de la porte, et ne vit alors que deux grands yeux bleus cachés derrière une longue cape marron, dont la capuche faisait obscurité sur son visage. Mais elle vit malgré tout, quelque chose. Quelque chose qu'elle trouva très bizarre. Une sorte de bec orangé semblait remplacer le nez de la créature. Elle fit une légère courbette pour le remercier, tandis qu'un second moine, avec la même particularité que celui-ci venait les accueillir.
"Soyez les bienvenus, je vais vous conduire à votre chambre, mais avant cela je vais vous faire une brève visite du monastère pour que vous ne vous perdiez pas. Suivez moi sans bruits s'il vous plaît. Tout ceux qui habitent ici, ont fait vœux de silence."
Ils acquiescèrent en souriant et essayaient de se montrer aimables. Ils suivirent la visite guidée sans un mot lorsqu'ils parvinrent enfin à la chambre où on les plaça à deux.
Ils entrèrent dans la petite pièce. Deux lits étaient aux deux côtés de la chambre, un bureau dans un coin. Ce ne serait pas très confortable mais ils feraient avec. Ils parlèrent longtemps, de tout et de rien, assis sur leurs lits respectifs tout en attendant que l'on vienne les chercher pour dîner. Ils ne savaient pas combien de temps ils restèrent enfermés ainsi, mais il semblait déjà bien tard, et la nuit bien avancée lorsque l'un des moines, toujours vêtu de sa capuche vint les chercher. Ils mangèrent beaucoup, de la soupe à l'oignon et du pain de campagne que l'un des moines avait préparé ce soir là. Il n'y avait aucuns bruits, même pas celui de la mouche qui volait non loin de là, et qui semblait avoir elle aussi, fait vœux de silence. Ils furent ensuite reconduis dans leur chambre. Ils commencèrent à s'endormir finalement au bout de quelques minutes, ou peut-être quelques heures, ils n'en savaient rien, car à cet endroit là, le temps semblait s'écouler d'une toute autre manière. Ce ne fut que lorsque Mayuchito fut profondément endormi, que, derrière ses ronflements incessants, et vraiment embêtant, (car ils empêchaient la jeune fille de dormir) qu'elle entendit des bruits de pas dans les couloirs, mais aussi des intonations de voix. Cela lui paraissait étrange vu que personne n'était censé parler en ce lieu saint. Elle poussa alors légèrement les gonds de la porte, et passa sa tête dans le minuscule ouverture. Elle vit alors de nombreuses personnes, toutes habillés de la même manière, qui étaient en train de faire la fête ! Ils parlaient, riaient, un vrai brouhaha. Elle ferma la porte très rapidement et alla secouer le jeune garçon endormi qui grogna et la gifla dans son sommeil. Elle s'indigna et lui donna alors un coup de poing dans le nez, ce qui évidemment le réveilla en sursaut. Il s'était mis à saigner et à se plaindre en se demandant pourquoi elle avait bien put faire cela, mais aussi en disant qu'elle était folle, et que ce n'était pas une heure pour s'amuser, mais plutôt pour dormir. Elle trouvait qu'il ressemblait à une pauvre bête sans défense en se comportant ainsi, et il lui faisait pitié. Ce ne fut qu'au bout d'une bonne vingtaine de minutes à se battre avec lui, qu'elle réussit à lui faire comprendre qu'il fallait écouter ce qui se passait dehors. Elle posa alors son doigt sur la bouche du garçon pour qu'il comprenne qu'il fallait se taire. Il écouta attentivement et perçut enfin les bruits de l'extérieur.
"Qu'est-ce qui se passe dans cet endroit à cet heure-ci de la nuit ?
-Je n'en ai pas la moindre idée mais c'est vraiment bizarre... lui répondit-elle en haussant les épaules. Je les ai tous vus rire et s'amuser, ils vont tous vers un même endroit mais je ne sais pas lequel. Tu viens ? On va les suivre !
-Mais, tu ne crois pas que l'on ne devrait pas rester couchés et se montrer calme ?
-Non ! Je ne suis pas d'accord, il se passe quelque chose d'anormal, j'en suis sure. En plus, tu n'as même pas remarqué qu'un bec sortait de leurs capuches au niveau de la bouche ! Tu crois réellement qu'ils sont humain peut-être ? Je n'en suis pas convaincue, mais alors pas du tout ! On dirait plutôt des oiseaux mutants oui ! Alors restes ici à faire le trouillard si ça te chantes, mais moi j'y vais !" Elle avait prononcée ces mots avec un telle intonation qu'il le prit pour lui, pour un défi.
Elle mit alors sa cape, et se cacha le visage. Elle vit Mayuchito en train de marmonner quelques phrases inaudibles et finalement se lever pour faire la même chose qu'elle. Ils sortirent donc, se mêlant à la foule. Il semblait y avoir beaucoup plus de moines qu'auparavant, ce que la jeune fille remarqua immédiatement. Au bout de quelques minutes ils finirent par arriver près de la grande tour, là ou était entreposée l'immense statue de pingouin. Tous, autour d'eux enlevèrent leurs capes, pour montrer leurs vrais visages, tous identiques les uns aux autres. Elle ne s'était pas trompée. En effet, ils n'étaient pas humains. On ne pouvait pas vraiment les considérer comme des oiseaux car ceux-ci ne volent pas, mais ils étaient en réalité des pingouins. Elle vit alors celui qui semblait en être le chef suprême, grimper au dessus du tonneau que tenait l'immense statue entre ses ailes tronquées. Derrière lui, on apercevait l'immense croissant de lune qui n'était pas blanc mais roux. Une atmosphère assez étrange pesait à ce moment là. Tout le monde se tut, et il prit la parole.
" Bonsoir à tous chers amis ! Nous voilà enfin tous réunis, car vous le savez tous comme moi, aujourd'hui est enfin le jour où la demie-lune rousse se montre, et voilà déjà quelques milliards d'années qu'elle ne l'avait pas fait et que nous sommes tous pris au piège ici, à cause de ce maléfice que nous avait lancé ce fils de chien de sorcier de pacotille ! Et oui ! Pour ceux qui ne le savent pas -Il posa alors un regard très intense sur les deux jeunes intrus, comme s'il lisait en eux comme dans un livre ouvert, ou plutôt en Mayuchito qui n'avait pas prit la précaution de fermer son esprit...- il y a bien des années de cela, ou devrais-je dire, des milliards d'années de cela, nous vivions dans un monde parallèle presque comme celui-ci, à la seule différence prêt que nous étions les gouverneurs, que dis-je ! Les maîtres du monde ! Et qu'un magicien dont je ne me souviens plus le nom, et dont celui-ci m'importe peu, a voulu "aider son peuple" comme il disait, et au bout d'un long et périlleux combat il a terminé par gagner. Il nous a tous envoyés ici, sur cette planète très peu évoluée, et enfermés dans ce monastère à la noix ! Nous vivons ici depuis trop longtemps ! Aussi, avant que l'oracle ne meurt, tué par cet abominable sorcier, il a réussi à nous révéler que nous pourrions repartir d'ici, le soir où la demie lune sera rousse, lorsque la bière coulera à flot -Il baissa alors les yeux pour observer le tonneau d'où il se tenait debout, et regarda la boisson couler sans jamais s'arrêter.- et lorsque nous aurions à nous les deux sacrifices semi-humains. Tout cela réuni ouvrira l'anneau magique inter-temporel qui nous ramènerai chez nous. Aussi, nous avons ces trois ingrédients ici présents. -Des murmures se firent entendre dans la foule, tandis que les yeux verts émeraudes du pingouin perché se posèrent sur eux. Tout les autres suivirent son regard et les deux pauvres malheureux comprirent que c'étaient alors eux les sacrifices.- ATTRAPEZ LES IL NE FAUT PAS QU'ILS S'ECHAPPENT! -cria-t-il d'une voix perçante.-"
Les deux autres échangèrent un regard en comprenant qu'il leur fallait une nouvelle fois fuir, car ils étaient à nouveaux les proies de quelques fous dangereux qui avaient besoins de leurs peaux. Le garçon regarda alors la jeune fille dans un regard plein de sous-entendus qui en disait long sur ce qu'il pensait. Elle eut un sourire gênée. Cette fois-ci elle aurait bien dût suivre ce qu'il disait et rester tranquillement dans leurs chambre, au lieu de s'embarquer encore dans des histoires folles. Le semi-dragon apparut alors, ayant repris sa forme dîtes anormal par les gens censés tout en attrapant par la taille la jeune fille et de s'envoler. A quelques mètres du sol ils se rendirent compte que les pingouins les avaient encerclés. Ils en voyaient certains essayer de grimper sur la statue pour les rattraper, mais c'était déjà trop tard.

Bien contée, bien détaillée, elle est pas mal l'histoire mais c'est un peu dans le désordre les évenements qui leur arrivent aux deux nan ?

jvois pas en quoi c'est dans le désordre....

bon tres franchement le fin est tres farfelue, avec ton histoire de pingouin et tout mais sinon c'est po mal, bien conté, mais ptet sa manque un ptit peu de description tu pourrais en mettre plus histoire que le lecteur ne se sente pas débordé par les evenements...
Tu voudrais pas faire un roman? je suis sur que sa aurait un succes fou?

Bon je suis rassuré que je ne ressemble po du tout au garcon, et toi pas trop a la fille, sinon j'aurais été horrifié j'espere que tu cognes pas tes copains pendant qu'ils dorment

._.

Owiiiiiiiii.
Bon la fille, c'est moi.
Célia c'est mon perso. C'est comme elle que j'voudrai être. mais devenir vampire ne sera jamais possible, donc.
Mayu, c'mon Mayu quoi. Mon meilleur ami, c'est son perso, et c'est beaucoup lui x) ce pervers. Mais je l'aime fort <3 donc j'lui pardonne.
peut-être que si vous êtes sage vous viendrez squatter l'histoire par la suite Oo haha ça va être drôle.
Oui c'est très beaucoup farfelu, et c'est le but en fait. Le coup des pingouins était une idée de génie. (non nazyran, tes chevilles enflent, si si !) D'ailleurs il y aura quelques autres chapitres idiots du même genre par la suite. Mais pas trop.
Ensuite c'est une idée de "roman". Quand j'ai décidée d'écrire c'était quand j'ai appris que ma grande soeur était enceinte et que j'allais être marraine. C'donc pour ma petite princesse que je l'écris. Quand elle sera en âge de le lire, j'espère qu'elle sera fière de sa marraine et tante (la seule en plus hahahahahaha). Mais bon pour ce qui est de le faire publier, j'sais pa,s peut-être quand je serai totalement satisfaite, qu'il sera terminé (vous en avez pour quelques années à cette allure là !)
Donc heu, prochain chapitre je penserai à faire plus de... description. Oo d'ailleurs lr prochain. owi onee-saaaaaaaan. Puis combat. Puis repartage. ha non j'ai oublié lkes souvenirs Oo en fait me reste encore beaucoup de chapitres. Owi.
Ok je parle trop, je me tais.